Mozart assassiné

Mozart assassiné

Mozart assassiné
René Fallet

René Fallet était grand amateur de bon vin et cela se sentait dans sa littérature. En général… Parce que ce « Mozart assassiné » n’est pas un grand cru de l’auteur. Je l’ai tout de même siroté vite fait : deux heures de lecture avant de m’endormir. Wilfrid a 38 ans, Carole 40 ans, et Norbert 42 ans. Carole et Norbert sont mariés. Wilfrid et Norbert sont amis. Ils ont fait la guerre ensemble, ça rapproche. Et ils ont une passion commune : la pêche. Or, lors d’une partie de pêche, il advient que Norbert glisse sur un rocher et se fend le crâne. On l’emmène d’urgence à l’hôpital où il décède quelques heures plus tard. Le problème est que les seuls témoins de l’accident sont Wilfrid et Carole. Ils ne sont pas amants et ne l’ont jamais été, mais une enquête est ouverte… Comment vont-ils gérer la suspicion qui s’abat sur eux ?

Au fait, pourquoi ce titre ? Parce que Carole pense que dans chaque homme, il y a un « Mozart qu’on assassine ». En d’autres termes, on étouffe trop souvent l’artiste ou l’enfant qui est en nous. D’accord, mais ça n’a strictement rien à voir avec le sujet du livre…

jllb