C’est grâce à Isabelle Cabut, rencontrée dans la presse informatique, que j’ai pu entrer aux Nouvelles Littéraires. À cette époque, la FNAC et la GMF (dont le patron était Michel Barouin) avaient tenté de relancer le titre.
Le rédacteur en chef était Alain Buhler, un ancien du Figaro Lyon. La formule n’a pas fonctionné et s’est arrêtée au bout de quelques numéros. Le format, très grand, n’était peut-être pas adapté pour ce type de magazine.
J’y étais chef de rubrique pour les nouvelles technologies, mais assez rapidement j’ai commencé à écrire sur d’autres sujets comme cette enquête sur les vieux papiers qui m’a menée sur les traces de Théophraste Renaudot, premier journaliste de France.